Une nouvelle commune du canton, issue d’une récente fusion et dont le nom ne commence pas par V (ni ne continue par D ni T) a occupé - par l’entremise de ses autorités - une partie du repos estival de quelques collègues...
Sollicité par des enseignantes pour une (banale) demande de prolongation de congé maternité, le Conseil communal de cette étonnante commune (ou faudrait-il dire l’étonnant Conseil de cette honorable commune?) a rendu un avis contraire à la pratique des instances dirigeantes, telle que recensée durant les 4 ou 5 dernières décennies. En clair, le congé mat’ (non payé) a été refusé. Sans explications. Si ce type de manifestations autoritaires et inconséquentes devait préfigurer ce que nous réserve une école régionalisée, nous devrions peut-être envisager de peser ce que notre bonne volonté et notre détermination peuvent peser dans une lutte contre des décisions fondées sur une politique incompréhensible et totalement détachée du terrain professionnel et de la vie des gens... Même s’il nous en coûte. (sl)
