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Paradoxe neuchâtelois

Soumis par SAEN le 23 mars 2018

Paradoxe neuchâtelois

Après moult marchandages, les députés ont fini par adopter un budget pour 2018. Au passage, de nouvelles coupes ont été exigées de la fonction publique (et finalement de l’usager). La droite a conditionné son appui à des concessions fiscales. À Neuchâtel, en période extrêmement critique pour les finances publiques, ce sont les hauts revenus que l’on épargne !

On présente très souvent Neuchâtel comme un canton pauvre. Pourtant le PIB par habitant y est le 5e de Suisse ; seuls Bâle-Ville, Zoug, Genève et Zurich font mieux ! D’ailleurs, les autorités ne cessent d’affirmer que notre canton a une progression exceptionnelle. Cherchez l’erreur !

Selon l’OFS, le produit intérieur brut est un indicateur conjoncturel illustrant la croissance de l’économie et ses cycles. Somme de la valeur ajoutée des biens et services produits, le PIB reflète la performance de l’économie.

Le PIB par habitant permet de suivre l’évolution de la performance économique moyenne. Si l’indicateur augmente au cours du temps, les ressources matérielles des habitants tendent à augmenter, car ils ont part au succès par le biais des revenus du travail et de la fortune.

Si c’est l’OFS qui le dit… (pg)

Main dans la main

Les comités des deux syndicats d’enseignants ont échangé récemment leurs priorités et points de vue lors d’une séance tenue à La Chaux-de-Fonds. L’atmosphère était conviviale et des opérations communes ont été décidées. Celle qui fera le plus de bruit concerne les structures de l’école obligatoire (souvent réduites à l’étiquette « régionalisation »). Les travaux ont commencé, vous en saurez plus très prochainement ! (pg)

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