En marge de la démarche proposée aux candidats déclarés début février (pour tenir compte des délais de publication), M. Philippe Gnaegi, chef du DECS, a souhaité s’adresser aux membres du SAEN. Des extraits de sa lettre paraitront dans le No 3/2013 de L’Éducateur.
Vous trouverez ici le texte intégral.
En période électorale, sans surprise, on observe que le Chef du DECS omet de parler de ce qui fâche (on pense particulièrement aux coupes opérées en tout début de mandat, particulièrement au Secondaire 2, mais aussi dans d’autres degrés). On se souvient que sans la mobilisation exemplaire de nos membres manifestée notamment lors de la Journée syndicale 2009 à La Chaux-de-Fonds l’addition auraitété plus salée encore.
Par contre, il faut admettre que M. Gnaegi a été un chef de département particulièrement actif. Ainsi, durant cette législature, certains projets ont été menés à terme (HarmoS, régionalisation de l’école obligatoire). Au Secondaire 1, il a eu le courage de prendre position en faveur de la suppression des filières... sans toutefois aller au bout de la logique, puisqu’il a (au moins très longtemps) nié la nécessité d’accorder des moyens supplémentaires pour sa mise en oeuvre.
Au cours de la prochaine législature, il entend mener une réflexion sur une plus grande reconnaissance des enseignants, en particulier dans les Cycles 1 et 2.
Là,évidemment, on en est au stade des promesses, qu’il n’est pas désagréable d’entendre. L’expérience nous a cependant appris que de la promesse à sa concrétisation, il y a parfois un fossé infranchissable (aux yeux des autorités).
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