Officiellement (!), il n'y a pas de pénurie chez nous, mais...
il ne faut pas oublier qu'une grande partie des remplacements dans les cycles 1 et 2 sont assurés par les étudiants de la HEP (à qui on retient encore 15%!).
Et puis la pénurie est cachée: Une augmentation des effectifs dans les classes pallie le phénomène au détriment de la qualité de l’enseignement et de l’école publique pour tous.
Écoutez le sujet diffusé dans le journal de 6h de la Matinale du 19 juillet sur RTS La Première.
Image: Salvatore Di Nolfi - Keystone
Publié le
dim 26/08/2018 - 22:30
