Les syndicats estiment qu’«en matière de politique salariale, le Conseil d’Etat, ainsi que la cheffe du DEF (réd: Monika Maire-Hefti), ne défendent pas les enseignants». Ils considèrent en outre «ne pas être entendus», avant d’ajouter: «Contrairement aux policiers qui mènent des discussions bilatérales avec leur chef de département (réd: Alain Ribaux), sur les questions salariales notamment, les enseignants ne bénéficient pas d’une écoute attentive de la part de leur cheffe de département.»
Les syndicats disent encore «s’inquiéter des menaces qui pèsent sur la liberté d’expression» et «dénoncer les directives exagérées édictées par la cheffe du DEF dans le cadre de la mobilisation du 31août dans les écoles» (nos éditions des 31 août et 1er septembre). Ils concluent: «Pour toutes ces raisons, nous estimons que le DEF n’est actuellement pas un interlocuteur crédible.» PHO - comm