L’école, comme la société, se trouve en perpétuel mouvement. Plusieurs dossiers ouverts actuellement, ou en passe de l’être, concernent l’entrée et la sortie du cycle 3.
Grand Conseil neuchâtelois: fini, l’école!
Ouf! Le pensum est achevé! L’école neuchâteloise, enfermée jusqu’ici dans le carcan d’une législation datant du début du siècle, va pouvoir s’épanouir dans des structures légales et administratives conformes aux exigences modernes. Hier, le Grand Conseil neuchâtelois, achevant par là sa session de mars, a placé la dernière pièce du puzzle résultant du découpage d’un projet de loi global sur la scolarité obligatoire qui n’avait pas trouvé grâce devant le peuple.
Année d’orientation
À la suite de l’échec en votation du projet de loi sur la scolarité obligatoire et sur l’école enfantine les 27/28 novembre 1982, les syndicats lancent l’été suivant deux initiatives pour l’instauration de l’école enfantine et d’une année d’orientation.
Les intentions du Conseil d’Etat après un rejet populaire
La Chancellerie d’Etat communique: lors de sa séance du 19 janvier 1983, le Conseil d’Etat a décidé de porter à la connaissance des autorités communales et scolaires ainsi que du public, les mesures qu’il se propose de soumettre à l’intention du Grand Conseil, ou de rendre lui-même si la compétence lui est donnée, pour continuer d’assurer l’organisation et la gestion des affaires scolaires le plus rationnellement possible avec la sécurité juridique voulue.
Des pétitionnaires mal dans leur peau
Courrier des lecteurs
RÉFORME SCOLAIRE
Le malaise enseignant du secondaire 1 est le terreau des pétitionnaires opposés à la réforme scolaire abolissant la section sans issue, appelée par une antiphrase dramatique «préprofessionnelle» (difficile pourtant de trouver une place d’apprentissage en sortant de ce type de classe!)